Les divorces ont de tout temps été source de tension, de division et d’énervement. Même quand ils font l’objet d’un consentement mutuel, les conjoints sont sujets à des pressions sociales et familiales. Malheureusement, cela ne présente pas que des conséquences sur le plan psychologique. Pour permettre aux époux de reprendre en main leur vie, bon nombre de décisions sont prises sur le plan juridique. Cet article examine les implications de ces décisions sur les époux, leurs enfants et leurs biens.
La fixation de la résidence des enfants
Lorsque le couple est au bord du divorce et que l’inévitable est à la porte, les enfants en ressortent généralement affectés. Pour assurer leur bien-être et créer les conditions optimales à leur épanouissement, on procède à la désignation de leur lieu de résidence.
Cette décision peut provenir des deux conjoints en cas d’accord entre ces derniers. Le juge aux affaires familiales peut alors être saisi pour entériner ce choix. En cas de désaccord, il lui revient le choix de fixer la résidence des enfants sur demande des conjoints. Et, ce n’est pas tout. Conformément à ces prérogatives, il a aussi le pouvoir de fixer les dispositions relatives à la garde des enfants puis celles liées :
- Aux droits de visite :
- À la définition de la pension alimentaire ;
- Et, à ses modalités de paiement.
Pour assurer une bonne couverture à vos enfants, le recours à un avocat en droit de la famille s’avère donc indispensable. Praticien chevronné, il mettra en effet son arsenal juridique à votre disposition pour préserver la sécurité, le confort et la santé de vos enfants.
Mieux, il usera de son expertise pour vous aider à remporter la garde des enfants. Au cas où cela ne marcherait pas, il jouera sur ses années d’expérience pour vous obtenir des droits de visite flexibles et avantageux. Si vous vivez dans la Haute-Garonne, vous trouverez A Toulouse, avocate en droit de la famille disponible pour vous accompagner.
L’annulation des liens économiques
Le divorce n’influence pas seulement la vie et le lieu de résidence des enfants. Outre ces aspects, ces conséquences s’étendent aussi sur les finances du couple. En effet, lorsqu’un couple se réunit par le biais du mariage de nombreux liens tissent notamment en ce qui concerne leurs finances.
Malheureusement, ceux-ci sont annulés par le divorce, de sorte que les conjoints ne se doivent plus secours, assistance et prise en charge. Et, ce n’est pas tout. Cela se répercute également sur leurs biens. Le conjoint qui ne travaille pas en ressort douloureusement affecté.
Pour vous mettre à l’abri d’éventuelles mauvaises surprises, il vous faut solliciter les services d’un avocat en droit de la famille. Professionnel assermenté, il dispose d’une bonne connaissance des procédures de divorce. Toute chose qui lui permettra d’assurer vos arrières et de protéger vos intérêts. De quoi reprendre votre vie en main, n’est-ce pas !
La perte du lien conjugal
Lorsque le mariage est anéanti et le divorce prononcé, les liens personnels des conjoints sont aussi défaits. De nombreuses conséquences juridiques en découlent comme la perte de la situation maritale des époux.
Désormais, ceux-ci ne porteront plus le titre de « mariés », mais de « divorcés ». De plus, ils n’auront plus le droit d’utiliser le patronyme de leur conjoint sauf en cas d’autorisation par le juge. À cela s’ajoute la perte des devoirs :
- Conjugaux ;
- De fidélité ;
- D’assistance ;
- De communauté de vie ;
- Etc.